10 juil. 2023

Il faut oser sauter le pas, mais avec le bon filet de sécurité.

La sécurité, le confort et l'apparence contribuent au bien-être mental des joueuses. C’est en cela que l’aide de Volvo est précieuse, déclare Fien Callens, coach du VC Oudegem.

Le mouvement est la seule constante dans la vie de Fien Callens, coach de volley-ball du VC Oudegem et entraîneuse à l’école de sport de haut niveau de Vilvoorde. Elle guide ses joueuses et cherche avec elles l’équilibre entre confort et défis. « Chaque balle est une surprise. Pourtant, nous évoluons dans une structure fixe. C'est pourquoi il est important de connaître le jeu comme sa poche, de se sentir à l'aise dans l'équipe comme sur le terrain. Il faut oser sauter le pas, mais cela n’est possible qu’avec le bon filet de sécurité. »


Fien a le volley-ball dans le sang. À l'âge de sept ans, elle décide de jouer après avoir vu sa mère sur le terrain. Depuis, elle ne s'est jamais arrêtée. Après avoir travaillé avec l'équipe nationale Les Young Yellow Tigers, elle entraîne aujourd’hui de jeunes talents à l'école de sport de haut niveau Euro Volley Center Vilvoorde et enchaîne sa quatrième année avec le VC Oudegem. Chaque jour, elle se bat pour la victoire, mais elle pense que l'on ne perd que lorsqu’on n'apprend rien. « Les Volvo d’aujourd’hui ont été créées de la même manière. Après être passés par des hauts et des bas, nous avons compris que l’innovation était indispensable à notre survie. C’est le principe qui me guide en tant que coach, mère et individu. »

“Volvo est un exemple pour moi. Nous devons continuer à aller de l’avant. Si nous voulons être encore là dans quelques générations, nous devons conduire de manière plus durable."

Des hauts et des bas


Si Fien est parvenue là où elle est aujourd'hui, ce n'est pas uniquement grâce à la chance. À 21 ans, elle a survécu à un grave accident de la route. « J'ai dû tout réapprendre en partant de zéro. J'étais à moitié paralysée - je ne pouvais plus marcher ni parler. Ils m'ont dit de tenir compte du fait que je ne pourrais plus jamais jouer au volley-ball au plus haut niveau en Belgique. Malgré tout, j'ai continué à m'occuper tous les jours de la rééducation et du volley-ball. Les possibilités que ce sport m’offrait encore me donnaient un but à atteindre, même si cela m'a longtemps semblé hors de portée. J'ai dû faire de la rééducation pendant des mois. Chaque jour, je faisais des progrès, à grand-peine. Comme j'avais une raison de me battre, j'ai continué à m’accrocher. »


C'est ainsi que Fien a appris les vertus de la persévérance. « La persévérance est différente de la motivation. C'est une question d'audace. C'est aussi ce que j'essaie de transmettre à mes joueuses. Je veux développer une culture où elles osent repousser leurs limites et sortir de leur zone de confort - pour qu'elles n'aient jamais à se demander : « Et si j'avais essayé ? ». Après tout, on ne vit qu'une fois. Bien sûr, ce n'est pas facile. C'est pourquoi il est important de pouvoir se reposer sur un socle solide. En tant que coach, je suis très attentive à ça. »


La force du confort


La sécurité, le confort et l'apparence contribuent au bien-être mental des joueuses. « À cet égard, la collaboration avec Volvo est très importante pour moi. Les joueuses doivent souvent combiner le volley-ball avec le travail et les études, ce qui peut être difficile. Avec une bonne organisation, il est plus facile de combiner le transport et un calendrier d'entraînement serré, par exemple. Lorsqu’après un match, les joueuses rentrent dans leur kot le soir, je suis sûre qu’elles arrivent à bon port. Ces voitures inspirent la puissance et le respect. Un tel look impose le respect. C'est très important pour nous, en tant qu'équipe féminine dans un monde d'hommes. »

Pour Fien, ce qui se passe en dehors du terrain est aussi important que ce qui se passe sur le terrain. « Nous devons veiller à la santé mentale et physique des joueuses. Je veux accompagner les joueuses non seulement sur le terrain, mais aussi en tant qu’individu. Si vous vous sentez bien physiquement et mentalement, vous pouvez conquérir le monde. Si vous êtes malade, comme ma petite fille en ce moment, vous n'avez pas ce sentiment. Pourtant, je lui apprends à continuer, malgré les hauts et les bas – et à rester positive dans toutes les situations. Quand vous vous sentez forte, les bas sont plus faciles à gérer, et les hauts apportent encore plus de satisfaction. »

Il est important pour Fien que ses joueuses puissent fonctionner de manière indépendante et autonome. « Il faut oser dire ce que l'on veut. C'est important dans le volley-ball, mais aussi dans la vie. En tant que femme, vous cumulez plusieurs fonctions. Vous êtes mère, femme, collègue... Le défi consiste à préserver cet équilibre dans une culture masculine. » C'est pourquoi Fien participe au « Women Empowerment Program » et milite ainsi pour accroître la présence des femmes dans le sport de haut niveau. « Il est important que les femmes puissent elles aussi développer leurs qualités au maximum. »


La seule possibilité : aller de l’avant


Ce n'est pas seulement au sein de l'équipe que Fien se bat pour l'innovation et le progrès. « Il est de notre responsabilité, en tant que femmes, de nous battre pour le changement, pour le progrès. » L'objectif de Fien est de devenir la première équipe féminine de Belgique composée uniquement de joueuses professionnelles, comme c'est déjà le cas pour certaines équipes de volley-ball masculin. Mais cela réside aussi dans de petites choses. « L'année prochaine, je ne veux conduire que des voitures électriques. Volvo m'inspire également à cet égard, en innovant et en s'adaptant constamment pour proposer les meilleures voitures du marché. Je demande la même chose à mes joueuses. Elles aussi doivent se montrer flexibles, adapter constamment leur jeu aux changements dans le monde du sport. »


Fien croit qu’il existe un équilibre parfait entre la stabilité et le confort d'une part, et l'innovation et le progrès d'autre part. « Là aussi, Volvo est un exemple pour moi. Nous devons continuer à aller de l’avant. Si nous voulons être encore là dans quelques générations, nous devons conduire de manière plus durable. Volvo l'a compris depuis longtemps. Il en va de même pour nous en tant qu'équipe. Si nous voulons survivre, nous devons garder nos objectifs à l'esprit et continuer à nous professionnaliser. C'est ce changement, cette envie de progrès, qui a inspiré l'humanité pendant des siècles. Un besoin permanent d'amélioration. »


Le volley-ball est à la fois immuable et changeant. « On ne sait jamais ce qui va se passer, quelle balle va arriver. C'est toujours inattendu. La seule chose dont on est sûr, c'est que l'on sera mis au défi, que l'on devra toujours repousser ses limites. Pour moi, cela reste un défi de trouver une structure et une organisaJon dans ce chaos. Tant que les joueuses resteront bien campées sur leurs jambes, elles trouveront leur place dans le jeu et au sein de l'équipe. Tout ce que je peux faire, c'est les protéger et leur donner la confiance en elles nécessaire pour affronter le monde la tête haute. »

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